Pascal Obispo
"Les Avions Se Souviennent"

Tu te retournes doucement, c'est ton histoire qui commence
Mais il te reste si peu de temps et derri�re toi le fleuve aussi veille.
Seuls les avions se souviennent, seuls les avions se souviennent
Le jour et l'heure du d�part.

Ailleurs, c'est toujours toi, � quoi sert de partir ?
Et ton visage sur le mur, les souvenirs qui durent
Ailleurs, c'est toujours toi ; c'est toujours toi.

Je me retourne en silence c'est le temps d'un faux mouvement
Et le ciel qui s'enflamme t'emm�ne plus loin qu'aucun serment.
Seuls les avions se souviennent, seuls les avions se souviennent
Le jour et l'heure du d�part.

Ailleurs, c'est toujours toi, � quoi sert de partir ?
Et ton visage sur le mur, les souvenirs qui durent
Ailleurs, c'est toujours toi ; c'est toujours toi.

Tu te retournes doucement, c'est mon histoire qui commence
Et les ann�es seront des si�cles et ton jeune corps dangereusement.
Seuls les avions se souviennent, seuls les avions se souviennent.

Ailleurs, c'est toujours toi, � quoi sert de partir ?
Et ton visage sur les murs, les souvenirs qui durent
Ailleurs, c'est toujours toi.
Ailleurs, c'est toujours toi, � quoi sert de partir ?
Ton visage sur les murs, les souvenirs qui durent
Ailleurs, c'est toujours toi.
C'est toujours toi ; ailleurs, c'est toujours toi,
� quoi sert de partir ? Sert de partir ?
Ton visage sur les murs, les souvenirs qui durent.