Michel Sardou "Le Cur�" |
Moi qui suis le jeune cur� De la paroisse abandonn�e, L�-bas, au flanc de la montagne, Moi qui n'int�resse personne Pas plus les Cardinaux de Rome Que mes paroissiens qui se damnent, Quand je m'ennuie, les soirs d'hiver, Comme un berger dans son d�sert, Je vais coucher dans mon �glise. Ah, bon Dieu, si l'on �tait deux. Ah, bon Dieu, si l'on �tait deux. Pour t'aimer, pour te servir, On s'rait pas trop de deux. Ah, bon Dieu, si l'on �tait deux. Moi qui suis le jeune cur� De la paroisse abandonn�e, Souvent, je pense � cette femme Qui partagerait le pain le sel, Qui m'endormirait avec elle Et qui prot�gerait mon �me, Mais l� devant la croix de Dieu, Ma pri�re n'atteint pas les cieux. Je suis tout seul dans mon �glise. Ah, bon Dieu, si l'on �tait deux. Ah, bon Dieu, si l'on �tait deux. Pour t'aimer, pour te servir, On s'rait pas trop de deux. Ah, bon Dieu, si l'on �tait deux. Accorde-moi cette faveur. Si tu ne m'entends pas Seigneur, Demain on fermera ton �glise. Ah, bon Dieu, si l'on �tait deux. Ah, bon Dieu, si l'on �tait deux. Pour t'aimer, pour te servir, On s'rait pas trop de deux. Ah, bon Dieu, si l'on �tait deux. Lyric from www.lyricmania.com |