Marc Lavoine "Adieu Camille" |
(Fran�ois Bernheim/Alfred De Musset) [Marc] Tu as dix-huit ans et tu ne crois pas � l'amour. Adieu Camille, Adieu Camille, Adieu Camille. Retourne � ton couvent et lorsqu'on te fera de ces r�cits hideux Qui t'ont empoisonn�e, r�ponds ce que je vais te dire "J'ai souffert souvent, je m'suis tromp�e quelquefois, j'ai aim� C'est moi qui ai v�cu" [Julie] J'ai souffert souvent, je me suis tromp�e quelquefois mais j'ai aim�. C'est moi qui ai v�cu Tous les hommes sont menteurs, inconstants, fous, bavards, Hypocrites, orgueilleux ou l�ches, m�prisables et sensuels [Marc] Toutes les femmes sont perfides, artificieuses Vaniteuses, curieuses et d�prav�es [Julie] Le monde n'est qu'un �gout sans fond O� les phoques les plus informes rampent et se tordent sur des montagnes de fange [Marc] Mais il y a au monde une chose sainte et sublime C'est l'union de deux de ces �tres si imparfaits et si affreux. Adieu Camille, adieu, Adieu Camille J'ai souffert souvent, je m'suis tromp� quelquefois, j'ai aim� C'est moi qui ai v�cu [Julie] J'ai souffert souvent, je m' suis tromp�e quelquefois mais j'ai aim� C'est moi qui ai v�cu On est souvent tromp� en amour, souvent bless�, souvent malheureux On est souvent tromp� en amour, souvent bless�, souvent malheureux [Marc] Mais on aime, mais on aime et quand on est sur le bord de sa tombe On se retourne pour regarder en arri�re Et on se dit et on se dit, Camille "J'ai souffert souvent, je me suis tromp� quelquefois, j'ai aim�, C'est moi qui ai v�cu et non pas un �tre factice cr�� par mon orgueil et mon ennui" [Julie] J'ai souffert souvent, je me suis tromp�e quelquefois mais j'ai aim� C'est moi qui ai v�cu [Marc] J'ai souffert souvent, je m' suis tromp� quelquefois, j'ai aim� C'est moi qui ai v�cu, adieu Camille, adieu [Julie] Tous les hommes sont menteurs [Marc] Tu as dix-huit ans et tu n'crois plus � l'amour. Lyric from www.lyricmania.com |