Gregory "Zora Sourit" |
(Jean-Jacques Goldman/J. Kapler) Une rue, les gens passent, les gens comme on les voit. Juste un flux, une masse, sans visage, sans voix. Quel �trange aujourd'hui, quelque chose, mais quoi ? D�sob�it, d�sob�it. Une rue comme d'autres et le temps se suspend. Une tache, une faute, et soudain tu comprends. Impudence inou�e, insolite, ind�cent, Zora sourit, Zora sourit. Zora sourit aux trottoirs, aux voitures, aux passants Au vacarme, aux murs, au mauvais temps � son visage nu sous le vent, � ses jambes qui dansent en marchant � tout ce qui nous semble �vident, elle avance et b�nit chaque instant. Zora sourit, Zora sourit, Zora sourit. Des phrases sur les murs, des regards de travers Parfois quelques injures, elle n'en a rien � faire. Elle distribue ses sourires, elle en re�oit autant. Zora sourit effront�ment, Zora sourit insolemment. Zora sourit pour elle et sourit d'�tre l� (Zora sourit) Mais elle sourit pour celles, celles qui sont l�-bas (Zora sourit) Pour ces femmes, ses s�urs qui ne savent plus sourire (Zora sourit) Alors des larmes plein le c�ur, des larmes plein la vie (Zora sourit) Zora sourit (Zora sourit), Zora sourit (Zora sourit), Zora sourit. Lyric from www.lyricmania.com |