Gilbert Becaud "Miserere" |
(Louis Amade/Gilbert B�caud) Miserere, en revenant du bal, on a seize ans, on peut avoir tr�s mal. Miserere, d'un grand amour d��u d�j� Plus rien ne va, ce soir, plus rien ne va. Miserere, tu rentres seul, Jeannot. Quand on a mal, les nuits se l�vent t�t. Dans les secrets de ta chambre d'enfant, d'enfant Miserere, tu pleures comme un grand. Et tu penses � tes derni�res vacances Toutes les joies, les danses dont il ne reste plus rien. Tu l'appelles comme on fait pour l'infid�le Dans les amours �ternelles quand il ne reste plus rien. Miserere, la longue nuit des jours M�me � seize ans, on peut mourir d'amour Et le miroir o� tu te faisais beau, tout beau Montre ce soir un malheureux Jeannot. Et tu penses � tes derni�res vacances Toutes les joies, les danses dont il ne reste plus rien. Tu l'appelles comme on fait pour l'infid�le Dans les amours �ternelles quand il ne reste plus rien. Miserere, efface ton chagrin, mais oui, Jeannot, tu construiras demain Les bras charg�s de ciel et de soleil tr�s grands Miserere, Jeannot deviendra Jean, Miserere. Lyric from www.lyricmania.com |