Gilbert Becaud "Le Condamn�" |
(Gilbert B�caud/Pierre Delano�/Maurice Vidalin) Quand ils m'ont jug�, je ne comprenais pas ce qu'ils voulaient de moi. Quand ils m'ont jug�, je ne comprenais pas ce que je faisais l�. Y'avait un homme en rouge qui s'acharnait sur moi Pr�cis comme la foudre et lourd comme la loi. Je ne savais pas que j'�tais si violent, que j'�tais si violent. Je ne savais pas que j'�tais si m�chant, que j'�tais si m�chant. Ouais, mais pour ma d�fense, un autre a palabr� Faisant voler ses manches au vent de ses id�es. Je ne savais pas que j'�tais si petit, que j'�tais si petit. Je ne savais pas que j'�tais si gentil, que j'�tais si gentil. Je ne suis qu'un homme, rien qu'un homme et j'ai peur Tout seul devant tous ces gens de bien Qui �talent au grand jour les secrets de mon coeur Et n'y comprennent rien. Messieurs les jur�s, ne me jugez pas trop, ne me jugez pas trop Messieurs les jur�s, mettez-vous dans ma peau, mettez-vous dans ma peau Regardez dans la glace vos t�tes d'hommes forts. Vous verrez les grimaces des condamn�s � mort. Quand ils sont rentr�s, ils ont baiss� les yeux, ils ont baiss� les yeux. Ils avaient jug� un enfant du bon Dieu, un enfant du bon Dieu. Lyric from www.lyricmania.com |