Gilbert Becaud "La Premi�re Cath�drale" |
(Gilbert B�caud/Franck Thomas) Jamais on n'a approch� d'aussi pr�s les �toiles Qu'en b�tissant un jour la premi�re cath�drale, all�luia. Jean le tailleur de pierre est venu � pied de son Limousin Et du Bas-Languedoc, Yves le charpentier et ses deux cousins. Trois hivers en terre pour les fondations Seront n�cessaires, mais les murs tiendront. Jamais on n'a approch� d'aussi pr�s les �toiles Qu'en b�tissant un jour la premi�re cath�drale, all�luia. C'est de l'�le-de-France que viennent les ch�nes et les peupliers Et les ma�ons assemblent les poutres, les vo�tes sur les grands piliers. Pose tes lumi�res, ma�tre vitrier, et que le soleil soit ton prisonnier. Jamais on n'a approch� d'aussi pr�s les �toiles, jamais Qu'en b�tissant un jour la premi�re cath�drale, all�luia. Les gens l�vent la t�te o� les architectes lancent les clochers. De la basse ville, les truands, les filles comptent leurs p�ch�s. En cet an de gr�ce l'an mil trois cents Lui qui nous regarde, il sera content. Jamais on n'a approch� d'aussi pr�s les �toiles Qu'en b�tissant un jour sa premi�re cath�drale, all�luia. La crosse de l'�v�que frappe par deux fois la porte aux clous d'or Et l'on chante au parvis, les pieds nus, on suit les bourgeois d'abord. � genoux la ville ! C'est ici ton coeur, la foi te d�livre en une clameur. Jamais on n'a approch� d'aussi pr�s les �toiles, tu sais Qu'en b�tissant un jour la premi�re cath�drale, all�luia. Lyric from www.lyricmania.com |