Etienne Daho "Boulevard Des Capucines" |
Ton nom qui tout l�-haut scintille Est le m�me que le mien C'est l'Olympia qui c�l�bre Ton �toile qui l�-haut s'�l�ve Et je vis ton succ�s de loin, Sur sc�ne, tu es le centre La foule aimante vacille J'observe, lorsque tu chantes, Que brillent les yeux des filles Je n'approcherai pas les loges O� l'on te couvre d'amiti� et d'�loges Car la pudeur me le d�fend, De loin, tu sembles fort et grave Plus que les gar�ons de ton �ge Comme lorsque tu �tais enfant, Rue Caumartin, je te guette Et l'appr�hension me vide, Tous ces regrets douloureux Me rongent comme l'acide Je te demande par cette lettre, Mon gar�on, De m'accorder ton pardon Tu sais, quelle connerie ma jeunesse ! Mon silence, quelle erreur, quelle perte de temps ! Si je n'ai pas su te dire � temps Que je pensais � toi, tout le temps, Mon guerrier, mon roi, mon petit prince Epris de femmes et de vie l�g�re J'ai tant aim�, je suis sinc�re, L'�treinte de la libert�, Ni mari, ni p�re et volage, Courant d'air et de passage, Sauras-tu me regarder ? Mais tu ignores mes signes Toi, mon cruel funambule, Alors je crache ces lignes Fracass� et somnambule Je te demande par cette lettre, Mon gar�on, De m'accorder ton pardon Tu sais, quelle atrocit�, cette guerre ! Mon d�part, quelle erreur, quelle perte de temps ! Si je n'ai pas su te dire � temps Que tu m'as manqu� tout le temps, Mon guerrier, mon roi, mon petit prince, Mon petit prince, Pardon. Lyric from www.lyricmania.com |