Alain Souchon "Faust" |
Comme la veilleuse laissait tout voir, La nuit, le petit dormeur S'en allait tout seul dans le noir. Avoir peur. Il aimait pas les gugusses Qui faisaient rire les imb�ciles, Vomissait dans l'autobus De la bile. Il attendait dans des �glises Quelque chose de doux, Des baisers, des choses exquises Sur sa joue. Sur un piano �lectrique, Si tu l'oses, On peut faire de la musique, De ces choses. Allez, chante fort Ton chagrin sonore Jusqu'� ce que ton coeur devienne un bloc d'or. Allez chante fort. Mets le dedans dehors. Chante encore jusqu'� ce que t'es mort. Il a vol� autour du monde sur des airs, Racontant content ses contes populaires. Une image, il est devenu, Messieurs, Dames, Mais les images, c'est connu, n'ont pas d'�me. Allez, chante fort Ton chagrin sonore Jusqu'� ce que ton coeur devienne un bloc d'or. Allez chante fort. Mets le dedans dehors. Chante encore jusqu'� ce que t'es mort. Une image, il est devenu, Mais les images, c'est connu, N'ont pas d'�me N'ont pas d'�me Lyric from www.lyricmania.com |